Son histoire

When passion is combined with optimism, this merger can only contribute to success. This is basically the main title of Mrs. Touria's journey. Despite the many difficulties it encountered, this Casablancan woman never lowered her arms and never gave in to despair. Mrs. Touria capitalized on her passion for embroidery and opened two stores in Casablanca involving with her a dozen women in need. Active on all fronts, Mrs Touria has also devoted herself to passing on her know-how to women detainees, assuring them in prospect a better social integration. Ms. Touria MOUNSSIF contributes to the development of craftsmanship and conservation of the traditional Moroccan habit in the region, especially the old method of embroidery of our mothers (المسوس) very requested and admired by the experts of the trade. She makes a remarkable effort to initiate and pass on her know-how to young girls in her workshop, in associations, and to schools, which will be future "mealmates" and will take over one day. Its micro-enterprise creates direct jobs (employees and craftsmen subcontractors) and indirect (suppliers of raw materials, deliverymen, models, etc.). His love for his trade and his notoriety have earned him the title of "best traditional craftsman 2014" Organized in Agadir by the Ministry of Crafts Quotations from Touria: "I was on the verge of bankruptcy and I was saved by the microcredit, and despite its small amounts there is always a way out of emergency assistance and unavoidable For those excluded from the banking system, it is enough just to make a rational calculation to succeed »Mme Touria MOUNSSIF is a customer of Al amana in Casablanca

Son histoire

Cuir, tissu, plastique, toutes les matières sont exploitables pour lhassan Assoughay, talentueux artisan qui, à Tailiouine, donne une nouvelle orientation au métier de cordonnier.

Il ne suffit pas pour lui de redonner vie aux chaussures usées mais de créer de nouveaux modèles en recyclant la matière pour confectionner sandales, ceintures, sacoches, tapis, … Lhassan est toujours à l’affût des derniers matériaux, modèles, machines et techniques.

Il reçoit régulièrement des visites d’étrangers venus de différents pays en vue de s’inspirer de son savoir-faire et de sa grande créativité artistique. Durant les périodes d’afflux touristique, ses ventes explosent grâce au soin particulier qu’il apporte à ses créations qui possèdent une touche d’authenticité de produit artisanal marocain. Pour assurer une grande visibilité à ses créations, Lhassan a décidé de promouvoir son talent sur les réseaux sociaux et de cibler ainsi de nouveaux clients.

Au fil des prêts contractés et du développement de son activité, le niveau de vie de Lhassan s’est amélioré ; il s’est marié, a scolarisé sa fille et a pu supporter toutes les changes de sa famille.

Son histoire

Khadija Bahla a dû quitter les bancs du collège, se marier jeune pour fonder sa famille et apprendre un métier, la couture. Depuis, elle opère dans le domaine de la broderie fine traditionnelle et du tricotage acquis de sa grand-mère. Elle maîtrise également le tissage des tapis, comme la plupart des femmes de sa région.

Elle a créé sa propre activité en 2001 en ayant recours au microcrédit qui lui a permis de louer un petit local pour en faire un atelier. Connue pour son sérieux, sa créativité et son amour pour sa profession, Khadija a pu développer une clientèle de plus en plus importante et se construire une réputation de couturière brodeuse hors pair ; elle fidélise ses clients en analysant leurs besoins et en innovant pour répondre à leurs exigences.

En vue de propulser sa production et l’emploi de la région, Khadija décide de créer une coopérative destinée à la couture traditionnelle, la confection et la fabrication de tapis traditionnels.

Elle y fait adhérer 40 femmes, dont ses trois filles, auxquelles elle garantit un emploi stable, source d’émancipation et d’épanouissement. Par ailleurs, Khadija les forme aux techniques de la couture du modélisme et du tissage.

Son histoire

Qualifiée de femme militante et courageuse dans sa région, Meryem Aït Sayd s’est vu transmettre par sa mère le métier de fabrication de tapis traditionnels, et a su le développer et le préserver à travers la création d’une coopérative.

Sa micro-entreprise lui a permis de créer de l’emploi dans sa région, de transmettre un savoir-faire à plus de 60 femmes du douar Issassen à Tata. Son riche savoir-faire est partagé par voix orale à ces femmes qui apprennent ainsi l’usage des matériaux, des outils et des techniques du tissage de tapis.

Grace à sa persévérance et à sa créativité, Meryem a réussi à développer son activité, à diversifier sa production (couvre lits, rideaux, …) et à élargir ainsi son portefeuille clientèle. Cette belle réussite a assuré la pérennité d’un art ancestral.