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Son histoire

Quand la passion se conjugue à l’optimisme, cette fusion ne peut contribuer qu’à la réussite. C’est en gros le titre principal du parcours de Mme Touria. Malgré les nombreuses difficultés qu’elle a rencontrées, cette casablancaise n’a baissé en aucun moment les bras et ne s’est jamais livrée au désespoir. Mme Touria a capitalisé sur sa passion pour la broderie et a ouvert à Casablanca deux magasins impliquant avec elle une dizaine de femmes en besoin. Active sur tous les fronts, Mme Touria s’est dévouée également à transmettre son savoir-faire aux femmes détenues, leur assurant en perspective une meilleur intégration sociale. Mme Touria MOUNSSIF contribue au développement de l’artisanat et la conservation de la nature de l’habit traditionnel Marocain dans la région, surtout l’ancienne méthode de broderie de nos mères (المسوس) très demandé et admiré par les experts du métier. Elle fournit un effort remarquable pour initier et transmettre son savoir faire aux jeunes filles dans son atelier, dans les associations, et aux écoles, qui seront des futures « m’âalmates » et prendront la relève un jour. Sa microentreprise est créatrice d’emplois directe (employées et artisans sou traitants) et indirecte (fournisseurs de matière première, livreurs, mannequins, ..) Son amour pour son métier et sa notoriété lui ont valu le titre de « meilleure artisane traditionnelle 2014 » organisé à Agadir par le ministère de l’artisanat Citations de Touria : « j’ai été au bord de la faillite et j’étais sauvé par le microcrédit, et malgré ses petits montants il reste toujours une issue de secours et d’aide incontournable pour les exclus du système bancaire, il suffit juste de faire un calcul rationnel pour bien réussir» Mme Touria MOUNSSIF est cliente d’Al amana à Casablanca

Son histoire

Femme de défi, Aicha a eu recours à la microfinance pour subvenir aux besoins de ses 9 enfants. Mâalma à l’age de 16 ans, Aicha à réussi aux fils des ans à se creuser une place parmi les bijoutiers de Taroudant. Elle emploie actuellement 10 personnes permanentes à plein temps, contribuant ainsi à lutter contre la précarité dans son entourage et à doter ses collègues d’une certaine autonomie financière. Les produits de Aicha se distinguent par leur modernité et la finesse de leur conception. Mme Aicha est membre gérante, très active, de la coopérative féminine TINSAWI. Elle a pu gagner la confiance de plusieurs organisateurs de manifestations et enrichir son parcours par l’obtention de plusieurs certificats qui lui atteste son professionnalisme et son engagement. Elle envisage de créer dans l’avenir proche un atelier dédié à son projet en louant un petit local et faire recruter une dizaine de femmes pour élargir sa production et sa rentabilité. Aïcha donne l’exemple tout simplement d’un dévouement hors-norme à la réussite. Mme Aîcha HAMID est cliente d’Al amana à Taroudant.

Son histoire

L’analphabétisme n’a jamais était un obstacle pour Mme Yattou. Cette vendeuse de fruits et légumes à Imouzer Kandar, a fait preuve d’un grand esprit managérial et d'une bonne gestion de son entreprise. Grâce au microcrédit, elle a étoffé son commerce et développé d’autres activités en parallèle. Sa rigueur a fait d’elle une femme modèle, un leader spontané qui défie la maladie et toute autre circonstance pour répondre aux besoins de sa famille et de ses employés. Mme Yattou, est présentée dans cette catégorie pour avoir tiré le maximum de profit du microcrédit, c’est une vraie micro-entrepreneure malgré son analphabétisme, c’est une grande combattante malgré son cancer. Le microcrédit était pour elle une grande issue de secours, après la mort de son mari maçon, elle était contrainte de subsister avec ses 3 petits enfants. Sans aucune source de revenu et après avoir vendue quelque temps de la pâtisserie Marocaine, (Harcha, Rghayef, M’semen..), elle décide de vendre des légumes devant la mosquée et dans les souks hebdomadaires. Son patrimoine ne dépassait pas un morceau de bâche et quelques corbeilles en bois. Un jour, la commune met en location des petits espaces pour les marchands ambulants qui désirent s’y installer, Mme Yettou saute sur l’occasion et tape la porte du microcrédit en 2006 pour demander un prêt de 2000 MAD qu’elle consacre à l’achat de légume en gros, payer la caution du local, et engager quelques petits travaux d’aménagement dans la baraque. .

Son histoire

Malika KARKOURI est cliente d’AlAmana Microfinance, agence El Kasba (C3), Marrakech. Elle est mariée et mère de 5 enfants.

Malika est une femme très active animée par une forte volonté d’entreprendre et une confiance en soi qui lui ont permis de vouloir capitaliser sur son expérience et son savoir faire et créer sa microentreprise au lieu de travailler pour le compte des autres.

Capitalisant sur une expérience de 5 ans en tant qu’aide « Neggafa », Malika a décidé de fonder sa propre micro-entreprise.

En 2001, elle contracte son premier microcrédit de 4900 MAD, suivi d’autres jusqu’à totaliser maintenant 15 prêts d’un montant total de 335000MAD, qui lui ont permis de développer sa microentreprise.

Les microcrédits ont permis à Malika d’acheter et renouveler les équipements, tenues et accessoires nécessaires pour cette activité jusqu’à constituer un patrimoine apprécié par toute sa clientèle.

Les microcrédits lui ont permis de payer les frais engagés dans l’organisation des cérémonies en attendant le complément des paiements des clients surtout depuis qu’elle a intégré le service de traiteur dans son activité.

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